Animaux de l'Ile Maurice - le dodo

Les animaux de l’Ile Maurice : espèces endémiques et introduites par l’homme

L’île Maurice, destination paradisiaque située dans l’océan Indien, est renommée pour ses plages immaculées et ses eaux turquoise. Toutefois, au-delà des paysages époustouflants, l’île offre également une biodiversité riche et variée qui mérite d’être explorée.

Dans cet article, nous allons faire un tour sur les différents types d’animaux que vous allez croiser ou entendre parler : les mammifères, les oiseaux, les poissons et des animaux indésirables. Nous allons bien sûr évoquer les animaux endémiques de l’île, ceux qui ont disparu et ceux qui sont en danger d’extinction.

Faune terrestre : à la découverte des habitants de l’île

Les mammifères introduits

Bien que l’île Maurice ne soit pas nativement peuplée de mammifères terrestres, certaines espèces introduites se sont bien adaptées. Parmi eux, on retrouvera principalement :

  • Le cerf de Java : importé par les colons hollandais au XVIIe siècle, il s’est parfaitement acclimaté aux forêts mauriciennes. Il fut importé sur l’île pour les besoins alimentaire. L’introduction dans la nature du cerf est accidentelle ; ils ont été remis en liberté à cause des enclos, endommagé lors d’un cyclone. Aujourd’hui, des battues sont organisées de juin à septembre dans des chassés et l’on peut consommer cette viande maigre, qui a l’avantage de pouvoir être consommé par les personnes de toutes religions. Vous le trouverez le plus souvent, cuisiné en rôti, en cari ou en salmi.
  • Le cochon marron : ce sanglier local est une sous-espèce issue d’un croisement entre un cochon domestique et un sanglier. Il a été importé par les hollandais en 1606. Comme pour le cerf de java, le cochon a été réintroduit à l’état sauvage par accident et sa population a augmenté de manière exponentielle. Des chasses ont dû être organisés pour limiter la population à cause de nombreux dégâts qu’il cause, aussi bien dans les cultures qu’au niveau de la faune et de la flore locale. On peut trouver les cochons marron dans la forêt, notamment dans les gorges de Rivières Noires, mais aussi dans les champs de canne et les chassés. Sa viande est consommée toute l’année en cari ou en salmi.
  • La mangouste : introduite au 19e siècle pour contrôler la population de rats suite une épidémie de la peste, elle a malheureusement eu un impact négatif sur la biodiversité mauricienne, notamment en s’attaquant à des animaux endémiques. Cette espèce est devenue invasive ; en effet, la mangouste se reproduit extrêmement vite, jusqu’à 3 fois par an ! On la retrouve un peu partout (forêt, broussaille, champs de cannes…), il n’est pas rare d’en apercevoir une qui traverse la route.
  • Les macaques crabier ou macaque à longue queue : ce sont de petits singes espiègles, originaires d’Asie du Sud-Est. Nous ne savons pas exactement quand et comment ils ont été introduits dans l’île. Les historiens pensent qu’ils servaient à l’origine d’animaux de compagnie. Mais en raison de leur agressivité, ils les ont abandonnés sur place et depuis, la population ne cesse de croitre. Ces primates se sont très bien acclimatés et sont devenus une espèce invasive, causant des dégâts aux exploitations agricoles et à la biodiversité unique de l’Ile Maurice en s’attaquant par exemple aux oiseaux endémiques. On le trouve principalement dans la réserve nationale de Rivière Noire, dans les régions de Grand Bassin et dans l’est du pays, où vous pourrez en croiser lors de votre excursion à la Grande Rivière Sud Est.
  • Le Tangue : Cet animal, cousin du hérisson, est en réalité une espèce endémique de Madagascar. Il est le seul représentant de son genre : tenrec. Les colons ont introduit cet animal dans de nombreuses îles de l’Océan Indien comme source de nourriture. Cet animal s’est reproduit à une vitesse fulgurante, donnant des portées en moyenne de 14 à 16 petits et peut aller jusqu’à 30 petits par portée ! Sa viande reste toujours appréciée des locaux mauriciens qui le cuisine en civet ou en cari même s’il n’est jamais proposé dans les tables des restaurants.

Les reptiles et amphibiens

L’île Maurice abrite plusieurs types de reptiles et d’amphibiens, qui ont été importés de manière accidentelle ou volontaire. On peut notamment citer :

  • Le gecko vert de Madagascar: ce joli lézard coloré de 25 cm est facilement repérable grâce à sa couleur vert intense et ses motifs rouge tout le long de son corps. Bien que magnifique, son introduction accidentelle sur l’île dans les années 90 menace l’existence des geckos endémiques qui connaît une chute spectaculaire de leur population, soit parce qu’ils sont devenus leurs prédateurs directs, soit parce qu’ils sont en concurrence pour la nourriture.
  • La couleuvre loup : un petit serpent qu’on peut parfois croiser parfois dans notre jardin ou dans les maisons car ce reptile n’hésite pas à rentrer dans les habitations pour chasser leur proie ou pour muer. Rassurez-vous, même si ce serpent peut atteindre 80 cm, il est totalement inoffensif. Ce reptile est une espèce très répandue en Inde et son introduction est sûrement accidentelle comme pour le gecko vert de Madagascar.
  • Le crapaud guttural : souvent visibles après la pluie et même dans nos jardins, c’est une espèce commune venant de l’Afrique. Ella a été introduite en tant qu’agent de lutte biologique contre les moustiques (notamment pour lutter contre le paludisme). Bien évidemment, l’espèce s’est très bien acclimaté et on le retrouve partout sur l’île. Ce crapaud a la particularité de secréter une toxine assez puissante pour tuer un petit mammifère qui essayerait de l’avaler.
  • La tortue d’Aldabra : comme son nom l’indique, elle vient de l’Atoll d’Aldabra, aux Seychelles. C’est l’unique espèce de tortue vivante qui a échappé à l’extinction. Elles ont été ramenées, à l’origine, comme animaux de compagnie. Puis dans les années 2001, les scientifiques ont introduit volontairement des tortues d’Aldabra sur l’Ile aux Aigrettes pour les sauver de leur disparition mais surtout pour repeupler les ébéniers. En effet, ces tortues sont friandes des fruits d’ébènes et la consommation permettent de disperser plus efficacement les graines. D’autant plus qu’on a remarqué que le noyau des fruits d’ébènes sont très durs et la digestion par les tortues faciliteraient la germination des noyaux. Le succès de ce programme a permis de le reproduire sur l’Ile Ronde, qui compte aujourd’hui 700 individus. Il est à souligner que ce rôle de dissémination était assuré, à l’origine, par 2 espèces de tortues géantes endémiques de Maurice, aujourd’hui disparues (voir plus bas).

Ailes en liberté : les oiseaux exotiques de Maurice

Espèces endémiques menacées

L’Ile Maurice est un paradis pour les oiseaux. Mais malheureusement, de nombreuses espèces endémiques de l’île Maurice sont en danger d’extinction. Voici quelques exemples notables :

  • Le pigeon rose : symbole des efforts de conservation réussis, il ne restait que 10 individus dans les années 90. Grâce aux efforts de conservation, ils ont été réintroduits avec succès sur l’Ile aux Aigrettes et dans le Sud-Ouest de l’Ile Maurice. La population augmente régulièrement mais reste fragile. Leur disparition est directement liée aux attaques des singes crabiers, des mangoustes, des rats et bien sûr, la disparition de leur milieu naturel.
  • La crécerelle de Maurice : seul rapace de l’Ile Maurice, elle a été en voie d’extinction critique avec seulement 4 individus restants en 1974. Grâce à un programme intensif de conservation de la Mauritius Wildlife Conservation, elle a pu être réintroduite dans la nature en contrôlant et en assurant la sécurité des sites de nidification. La réussite de la reproduction de ce rapace a été essentielle pour sa réintroduction. La population était de 350 individus en 2022. On peut l’observer dans les gorges de la Rivière Noire, à Mont Bambou et dans la forêt de Bel Ombre. Ce qui est dommage, c’est qu’avec la destruction des zones forestière à Maurice, il est probable que la population ne pourra continuer à croître dans les années à venir.
  • Le cateau vert : victime de la disparition des zones boisées, ce perroquet a pu être sauvegardé grâce aux programmes de conservation mis en place. Le cateau vert a frôlé l’extinction, avec une population d’une dizaine d’individus seulement en 1980. La destruction de leur habitat n’est pas la seule cause. Ils étaient en concurrence avec les autres espèces de perroquet pour la nidification, ils étaient chassés par des prédateurs tels que les singes et les rats et le manque de nourriture lié aux autres espèces d’oiseau. Grâce à la création d’espaces protégés sur l’île, la population des cateaux verts remonte doucement la pente.
pigeon rose
pigeon rose à Casela

Oiseaux migrateurs et visiteurs occasionnels

Chaque année, Maurice accueille des oiseaux migrateurs fuyant les hivers rigoureux de leurs pays d’origine. D’octobre à février, ces oiseaux se rassemblent autour des côtes, marécages, estuaires, rivières et lacs de l’île, cherchant des poissons, mollusques, crustacés et vers de terre pour se nourrir. Ils parcourent des milliers de kilomètres et utilisent le champ magnétique terrestre pour s’orienter. Les sites où vous aurez le plus de chance d’apercevoir ces oiseaux migrateurs incluent l’estuaire de Terre Rouge, les plages de l’Ile aux Bénitiers, du Bouchon, de Belle Mare, de la Cambuse ainsi que l’île aux Cocos et l’île au Sable. Parmi ces espèces migratrices, vous trouverez :

  • La sterne Pierre Garin
  • Le Chevalier Guignette :
  • Le Pluvier argenté
  • Tourne Pierre à Collier

Trésors marins : plongée dans l’écosystème océanique

Les poissons tropicaux

Les récifs coralliens entourant l’île Maurice sont riches en poissons tropicaux multicolores. N’oublions pas non plus les poissons pélagiques qui vivent dans les colonnes d’eau, loin des côtes et qui font le bonheur des amateurs de pêche sportives. Parmi les plus communs, on rencontre :

  • Le poisson-perroquet : identifiable à son bec puissant et ses écailles aux teintes vives de bleu, vert, et rose.
  • L’idole des maures : rendu célèbre par le film « Le monde de Nemo », il est reconnaissable par ses bandes verticales noires, blanches et jaunes et sa nageoire dorsal en forme de faucille.
  • La demoiselle : reconnaissable grâce à ses 3 bandes noires sur le corps, ce sont les premiers poissons que vous apercevrez dans les récifs, se regroupant en grands groupes de plusieurs dizaines à centaines d’individus. Très curieux, vous les verrez tourner autour de vous lors de vos sessions de snorkeling.
  • Le poisson papillon : poisson élégant qui se nourrit de coraux. Plus de 9 sous-espèces aux couleurs et motifs variés sont présentes dans les eaux mauriciennes.
  • Le baliste picassoclair : très présents dans les récifs mauriciens
  • Le sergent major : autres poissons communs dans nos lagons, ils vivent en groupe et près des récifs coralliens
  • Le poisson scorpion : appelé laffe volant par les locaux, c’est un magnifique poisson avec une nage gracieuse. Mais attention, ses nageoires dorsaux sont relié à des glandes vénimeuses. La piqûre est extrêmement douloureuse pouvant provoqué l’hospitalisation, à observer de loin uniquement.
  • La dorade coryphène : elle ne ressemble en rien à la dorade que vous connaissez. C’est un prédateur qui peut attendre 2m de long, reconnaissable à sa forme caractéristique et ses couleurs uniques de jaune et de bleu.
  • Le marlin : poisson puissant et recherché pour la pêche sportive. Les amateurs de pêche auront l’occasion de combattre des marlins bleus, des marlins noir et des voiliers.
  • Le thon jaune: espèces présente toute l’année dans les eaux chaudes mauricienne, très appréciés également des pêcheurs et par nous les gourmets !

Les Mammifères marins

Les eaux turquoise de l’île Maurice hébergent également plusieurs mammifères marins, attirant les amoureux de la nature du monde entier. Certains s’observent à l’année et d’autre uniquement pendant l’hiver austral :

  • Les dauphins : particulièrement présents dans la Baie de Tamarin, ils offrent un spectacle étonnant aux visiteurs chanceux. Il existe également une population présente sur la côte Est de l’île. Nous avons également aperçu un petit groupe lors de notre excursion en catamaran en décembre 2023.
  • Les baleines à bosse : on peut observer ces géants des mers durant leur migration annuelle de 10 000 km, entre juin et novembre, quand elles viennent dans les eaux mauriciennes pour mettre bas. Si vous avez de la chance, vous pourrez même admirer leur saut spectaculaire hors de l’eau.
  • Les cachalots : Ces impressionnants cétacés vivent à l’année sur la côte ouest de l’Ile Maurice. ils peuvent mesurer jusqu’à 18 mètres de long et peser 40 tonnes. Ce sont les champions de l’apnée, capable de retenir leur respiration pendant 1h et plonger à plus de 1000 mètres de profondeur pour chasser leur proie favorites, le calamar.

Les tortues de mer

Deux espèces majeures de tortues de mer fréquentent les côtes mauriciennes : la tortue verte et la tortue imbriquée. Vous les croiserez surtout au nord de l’Ile Maurice ; des excursions en bateau sont proposés aux touristes sur la plage de Trou aux Biches, ou dans le lagon derrière Le Morne et l’Ile aux Fourneaux. Par contre, il n’y aura personne pour vous emmener, mais si vous faites un tour en hydravion, vous pourrez peut-être les apercevoir. La ponte des tortues n’ont lieu que très rarement sur nos plages. Durant les 20 dernières années, il n’y a eu que 4 pontes recensées : sur la plage de la cambuse, la plage de Gris-Gris et sur l’Ile Plate.

Animaux de l’Ile Maurice : les espèces éteintes

A l’origine, l’Ile Maurice était un territoire isolé. La faune et la flore ont évoluées dans un environnement sans prédateur naturel, rendant les animaux endémiques de l’île curieux, docile et facile à approcher. Malheureusement, avec l’arrivée des premiers colons, ces caractéristiques leur ont été fatales, notamment avec la disparition de nombreux espèces animales présentes sur l’île. Voici quelques un de ces animaux de l’Ile Maurice, éteints à cause de l’homme :

Le Dodo

Le dodo (Raphus cucullatus) était un oiseau endémique de l’île Maurice, aujourd’hui disparu. Il mesurait environ un mètre de haut et pesait entre 10 et 18 kg. Son plumage était grisâtre avec des nuances bleues et il possédait un bec long et crochu, adapté pour se nourrir de fruits tombés au sol. Ses ailes étaient petites et inutilisables pour le vol, signe d’une adaptation à un environnement sans prédateurs naturels. Le dodo avait des pattes robustes et jaunes, adaptées à la marche. Il nidifiait au sol et pondait un seul œuf à la fois.

L’arrivée des humains et surtout des animaux introduits comme les singes, les rats et les porcs ont rapidement conduit à son extinction au XVIIe siècle. Des récentes recherches ont montré que ce n’est pas tant la chasse qui a conduit son extinction (sa viande était ferme et avait mauvais goût) mais plutôt la prédation et le pillage des nids de dodos par ces animaux. Le dodo est devenu un symbole de l’extinction causée par l’homme.

Les tortues géantes de l’Ile Maurice

Il existait 2 espèces de tortue géante à l’Ile Maurice avant l’arrivée des premiers colons. De leur nom scientifique la Cylindraspis inepta et la Cylindraspis triserrata. Des descrptions de l’époque évoquaient des tortues tellement grandes que plusieurs hommes pouvaient s’asseoir dessus. Elles étaient très communes à l’époque. Malheureusement, les colons les ont chassés pour leur viande et leur graisse pour en faire de l’huile. Ils les ramenaient également sur les navires comme « aliment de conservation » car elles étaient très robustes, pouvant se passer de boire et de manger pendant plusieurs semaines. Des tentatives de préservation à l’époque ont été tenté, mais en vain. Les 2 espèces de tortue géante sont considérées éteintes au XVIIIe siècle.

Les perroquets

Il existait 6 espèces de perroquet endémiques aux iles des Mascareignes et 5 sont déjà éteintes. Les raisons sont la chasse pour leur viande ou la destruction de leur habitat naturel. Parmi ces 5 espèces il y avait :

  • Le Perroquet de Rodrigues : endémique de l’Ile de Rodrigues, il avait un plumarge vert et avait une large tête, probablement la plus large des espèces présentes dans les Mascareignes. Sa disparition était probablement liée à une combinaison de prédation lié aux rats, à la déforestation et la chasse par les colons. L’espèce a probablement disparu au 18e siècle.
  • Le Perroquet Mauricien ou Mascarin de Maurice : endémique de l’Ile Maurice, était un grand oiseau avec une morphologie qui suggérait qu’il menait une vie plutôt terrestre. Les causes de sa disparition étaient probablement les mêmes que pour toutes les autres espèces et il serait éteint au 17e sicèles.
  • La Perruches de Newton : endémique elle aussi de l’Ile de Rodrigues, était de couleur gris-bleu avec des reflets verdâtre. Elle était très répandue sur l’île. Sa disparition est estimée aux alentours du 19e siècle. La population était devenue très fragile et avec la disparition de son habitat naturel, il est probable que les cyclones à cette époque ont fini de faire disparaître cette espèce, n’ayant plus de refuges naturels pour se réfugier.

Les animaux indésirables de l’Ile Maurice.

L’Ile Maurice, c’est le paradis sur terre. Mais qui dit nature verdoyante, dit aussi petites bêtes indésirables tant pour les touristes que pour nous les expatriés. Ils sont plus ou moins dérangeants, cela dépend de ce que vous êtes capable de supporter. Voici une petite liste d’animaux qui pourrait vous faire crier :

  • Les margouillat : ce sont des petits lézards verts que vous trouverez dans toutes les maisons à l’Ile Maurice, même dans les chambres des hôtels 5 étoiles. Ils sont absolument partout. Ils mangent les petits insectes volants et les moustiques. Le problème avec ces petites bêtes, c’est qu’ils laissent tout le temps des traces d’excréments sur les murs des maisons et parfois au sol, près des plinthes.
  • Les moustiques : comment ne pas parler de ces insectes, qui vous piquent à longueur de journée, surtout en été quand il faut humides et chauds. Ils existent principalement 2 espèces de moustiques à l’Ile Maurice. Leurs piqures causent des démangeaisons et sont aussi à l’origine des épidémies de dengue, notamment depuis début 2024.
  • Les crapauds : peu importent l’espèce, vous les entendrez bruyamment juste avant les jours de pluie. Ils croassent tellement bruyamment que cela peut vous empêcher de dormir.
  • Les musaraignes des maisons : ces petits animaux se faufilent absolument partout dans la maison. Omnivore, ils dévorent tout ce qui passe. Elle est notamment la cause de la disparition de certains reptiles et invertébrés endémiques de Maurice.
  • Les cancrelats : Beaucoup crieront à la vue de cet insecte. A maurice, ils sont plutôt gros et peuvent voler !